Cher Mostafa,ton commentaire sur sur mon texte"J'ai peur" m'a tellement ému,j'ai voulu avec ces humbles mots te dire qu'au bout de nos rêves il y a toujours quelqu'un qui nous attend,j'espère que mes mots te porteront chance afin que tu rencontres dans le plus proche futur ce bonheur tant convoité inch'allah.Amicalement.




Du fond de mes rêves
Je t’ai appelé
Je n’ai reçu que mon écho
Qui continue de retentir
Au dessus des vallées
Au dessus des océans
Au dessus des montagnes
J’ouvre ma fenêtre chaque matin
Espérant humer ton parfum dans la brise
J'erre sans but
Te cherchant
Dans les pétales vermeilles des roses
Dans la pureté des gouttes de pluie
Dans le chant matinal du rossignol
Je continue à veiller la nuit
Te cherchant
Dans le scintillement des étoiles
dans la lumière argentée de la lune
Dans le prénom de chaque femme
Je te cherche toi
Qui saura réveiller mon volcan éteint
Jouer toutes mes mélodies
Lire dans tes yeux mon histoire
Passée et à venir
Lire dans ton imagination les rêves
De tous les poètes disparus
Lire dans ton âme l’histoire de l’humanité
Du début jusqu’à la fin
Je te chercherai tant que je vivrai
M’accrocher à toi jusqu’au dernier soupir
Si un jour on me demande :
"Qui est elle ?"
Je répondrai:
Elle est cette douce brise
Qui fait frémir mes rêves
C’est un mélange de soleil et de miel
De lumière de lune et de roses
Lorsqu’elle apparait
Ebloui,le soleil s’éclipse
Lorsqu’elle sourit
Supplantée la lune devient blafarde
Et la terre est fière de la porter
Elle peut être de partout
Et de nulle part
Elle est plus légère que le vent
Plus subtile que le parfum des roses
Plus fine qu’une ondée de mai
Elle est paix dans la tumulte
Et sérénité dans la tempête
Elle est ce tableau que j’ai peint
Et que j’étreins
Elle est ce poème que j’ai écrit
Et qui n’a pas de fin
Elle est cette mélodie que joue mon coeur
Avec le même refrain
L’aimer’l’aimer’l’aimer
Jusqu’à être jaloux de moi même
Jusqu’à être jaloux de l’air qui la caresse
A être jaloux avant de la rencontrer.

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"Ayant bu des mers entières,nous restons tout étonnés que nos lèvres soient encore aussi sèches que des plages,et toujours cherchons la mer pour les y tremper sans voir que nos lèvres sont les plages et que nous sommes la mer"
(Farid Uddin Attar)