Qui eut cru que dans les affres d’une abyme sans fond, un ange vous tende la main
Par nécessité vous auriez pensé que rien ne pouvait plus vous extirper de la déchéance
Dans laquelle vous vous étiez réfugiés, et pourtant, un être, son regard, son amitié
Ses attentions vous ont hissés au sommet de vos doutes et un cœur pur s’est ouvert
A votre chagrin, dans le souci de panser ses solitudes, une heure si belle vous réconforterait
Un régiment en débandade, une perle rare brille devant vos yeux désormais
Vous offrant son éclat, ses profondeurs environnantes, où hisser, puis plonger
Vous songez aux chagrins, aux péripéties des êtres qui n’ont pas eut la chance d’être secourus
Si tôt,
votre cœur se désemplit de son lourd fardeau de colère,
lourd et si difficile à porter,
Vous vous emplissez du souvenir de la tendresse de votre enfance, vous vous réjouissez
De ses caresses opalines vivifiantes, et votre pensée légère fredonne à nouveau ses envies,
Balbutie ses émois, votre corps encore lourd soupèse son repos nécessaire
Et vous vous portez avec la force de l’amour
Dont les énergies fredonnent de nouveaux chants
De nouveaux, de nouveaux penchants
Et d’efforts en réconfort
Vous vous avancez sur le sol, fredonnant, que la vie est douce
Et belle en vérité
Merci Cyrael, pour la beauté de ton âme
Dans l’immensité du monde, rares sont les personnes qui portent une si jolie auréole,
Nos yeux sont amitiés
Réconfort
Et chantent à l’unisson
L’amour des étoiles
De la belle oasis
Promulguée
Au rang des Å“uvres
D’intérêt publique
En mon cœur,
en souhait
d'une évidente
clarté.