Pensée pour mon poète.
Peur narcissique
Narcisse la ruse se cachait derrière mon ombre
Un reflet triple enfoui dans la lumière sombre
Piètre trio d’images confuses qui bougent
L’aurore assassine plainte des âmes rouges
La pudeur frissonne jusqu'au délire des sens
Sans refuge découverte dévêtue à outrance
Une brèche béante sur soi un œil de judas
Faiblesse humaine retour erratique du dada
Martèlement mûr sado- maso de son ego
Puissantes armes griffes acérées et ergots
Se retrouver se repenser devant ce miroir
Et angoisser d’incertitude robe de nuit noire
La confusion devient douleur une peur unique
Et le cri silencieux fuit la déprime soporifique
Il fallait que le gouffre craint soit aussitôt colmaté
De caresses argileuses pour une survie hébétée.
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MB CANDIDE 
Pensée pour mon poète.