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Le printemps de ton regard Que de Beautés, que de Grâces écloses. Ne verrais-je pas ! Au jardin Marie et son sein aigrelet Éblouissante de pureté et amoureuse , tu m’enlaçais, Ou tes Amours Marie sur tes lèvres décloses !
Me transformant, amoureux en cent métamorphoses, Quand je regarde ton corps si roselet Du Printemps d’amour, d’un rosier tendrelet, Et moi Marie qui au matin te caresse tes roses .
Le printemps de ton regard, me paraissait aussi beau. Rusé ,tu pris le masque du taureau, Bon Jupiter , pour traverser les ondes.
Le Ciel n'est pas dit parfait pour sa grandeur : Lui et ce sein le font pour leur rondeur : Car le parfait consiste en choses rondes.
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