Aristea ou la beauté en litote
Où était ton cœur était l'espérance
A ne pas en décrier l'anecdote.
Au fond de ta jeunesse était l'aisance
Où tu brillais de ton intelligence
A me confronter à la confidence.
Mais quel constat que cette intolérance
A vouloir m'isoler de la plaisance
Qui, sur son port, est plein de son absence.
Mais quel était ce désir sans instance
Et qui se brûlait en se voulant terne
Sans vouloir s'inspirer de sa présence.
Car c'était là la problématique en berne
Que le sang est l'aliment qui hiberne
Pour s'en tenir au regard et son cerne.
Puis recommencer pour ce qui consterne
En se demandant où est la mascotte
Avec son enfance qui se materne.
Aristea ou la beauté en litote.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)