C'est par le tourbier que l'art est à son critère
Où se hissent en feux les ténèbres du temps
Comme une alchimie à son mystère éphémère
Qui se met dans le vent qu'hasardent les levants.

C'est par l'amour qu'on crée un sens à la lumière
Pour ne plus s'embaumer qu'aux principes d'antans
Ceux que la volupté a puisé en arrière
Où de nos jeux d'enfant se sont faits les amants.

Ainsi à la vision qui fait révélation
Est la primesautière à son exaltation
Où du corps en jouissance est l'ardeur qui s'arrange.

Mais il est plus profond en se récupérant
Où la séduction même en devient plus étrange
Et qui fait que la chair est prise en s'élevant.

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)