Ecoute les échos pendant que l’aube nait,
D’un rayon lumineux où l’arbre se dénude,
Sa verdure s’offrant au matin qui renait,
Quand la cime reluit en toute quiétude.
Ils content l’arrivée des murmures naissants,
Du souffle continu des brises matinales,
La vie reprend ainsi son voyage lassant,
La nature déploie sa candeur virginale.
Leurs compagnons des soirs, vers le déclin du jour,
Ravivent sous les cris des oiseaux de passage,
L’horizon enflammé, luisant par ses contours,
La nature s’éteint et drape son corsage.
Massin