Saisons déchirées...
L'eau tonne,que de beaux rêves inassouvis
De si chères envies tombant à l'oubli
Rien n'a changé,quand j'ai pleuré ou ri
Que d'amours sincères furent longtemps trahis
Lit vert me hait,ses nuits si longues,si traîtres
Ont beau implorer les fidèles et les prêtres
Leurs cris suspendus à ce ciel pâle et gris
Toutes leur bénédiction n'ont pas suffi
Le prin temps couvert de feuilles mortes
Les rafales d'hier ont souillé les portes
Dans ses nuits sans lune où tomba l'oubli
Blessée,l'âme se remémore encore aujourd'hui
Les tés bien placés n'ont pas suffi
A irriguer les hauts et les bas de la vie
Une vie,qui sépara ceux qui s'aiment à la folie
Sans se rendre compte et sans faire de bruit
L'espoir qu'un soleil brillera de nouveau
Balayant le laid, apportant le beau
Unissant de nouveau les coeurs qui s'aiment
Soulageant pour toujours leur humble âme
Amitiés poétiques.