Elle est l’arbre elle semble en tremblant dans son corps Une Rose qui effleure et s’irise encore Dans ton cœur un dictame une branche admirable Comme l’arche du ciel après la pluie durable Sceau double qui te trouble aux toiles de tes maîtres (1) Signant la prose en pleur du monde où sont les reîtres (2)
(2) « La Prose du monde » est le titre en essai du philosophe Maurice Merleau-Ponty où il est question du peintre renaissant Masaccio (voir la note 6)