Mes sourcils ont été frappé sur mes paupières
La dernière heure la plus difficile sur une page de garde
Aux flammèches de larmes du soleil
Les embruns prennent la relève
Chaque vague efface la précécédente
Les rouleaux anniversèrent sur chaque grain de sable
Sablier d'un âge marin
Le bruit de ces vagues comme une mémoire consignée
De l'été précédent
Une voix sans arrêt se remet en branle
Après une longue pause stationnaire en gare
Dans le hangar d'une biblioteck
Sortent des tracts heures
L'ajournée se remet au travail

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