* Musique : Temple of silence.




* Lorsque la nuit viendra
j’écouterai la voix
d’univers qui m’appelle,
j’approcherai la rive
de mon nu de plein ciel
emportée d’éternel
à dos d’ailes d’oiseau.

* Il planera la mer
jusqu’à l’astre lunaire
roulant des lents d’éthers
d’horizon vibrations,
sur lequel dormiront
mes silences paupières
battant l’en cils stellaire
d’yeux à corps d’abandon.

* Au-dessus de la mer
caressée cheveux longs,
l’oiseau sera gardien
et veilleur de lumière
des poussières d’Univers
d’une étoile à mon front,
qu’il aura serti d’or
de son cœur diamantaire
du céleste solaire
dont se pare son profond.

* Il plane et se déploie...
Je suis âme de Lui
même ciel de terre,
que la sienne déplie
d’ailes ouvertes sur moi,
pour me couvrir du froid
dont ses plumes me serrent
de ses rémiges alaires,
qu’il agrippe à mes doigts.

* Nous ne serons qu’un nu
que l’astral voyage
se perdant d’inconnu
dans nos ciels dimensions,
voilure d’horizon
d’une mer sans nuage
disparus fin fond d’âges
d’âmes à cieux d’abandons.

* Aïna.
Février 2022.




Très belle et douce journée à vous.
D'avance merci à ceux et celles qui passeront me lire.

* Aïna.