Seuls, les jeunes gens se baignent de la lumière
Lui, bien assis, est à son affaire
La belle, s'évente, dans son hamac, bel air
Il est volubile, s'époumone, précaire
Regardant ailleurs, elle s'indiffère
L'ennui la gagne, lui fait un signe de son éventail
De doux mots, il palabre, énumère les détails
Empressé, il agite, de gauche et de droite, son chapeau
Elle, pour s'en défaire, ne le trouve pas beau
Se contente pour le moment d'observer la muraille
Se lamentant, suppliant même, en viendrai aux représailles
Exaspérée par cet olibrius de carnaval
Pour avoir la paix dans son local,
Le réprimande puis le menace et appelle la flicaille !
**poètamateur
copyright n 00052404
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La poésie réchauffe les cœurs et calme les esprits.
Poetamateur
Sentiment sans partage