Se fait sur les pages
d’une route grise
qui mène jusqu’aux nuages
lorsque je lâche prise
il faut que je m’arrête
que je sorte de ma cage
pour voir des paysages
sans l’ombre d’une fenêtre
découpés en morceaux
je qualifie les plus beaux
et je reprends cette route
enrobée de mazoute
où en tournant les pages
il me faut rester sage
car cet écrit est ouvert
sur un monde de transfert
où le moindre faux pas
peut fermer un livre
et quoiqu’il arrive
mon voyage s’arrêtera
BONNE ET HEUREUSE ANNEE
ET TOUS MES VÅ’UX DE BONHEUR ET DE SANTE
A TOUS LES POETES D’OASIS
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Geneviève