Je ne reconnais plus
Ce paysage connu
Un feuillage clairsemé
Dévoile l’étang secret
Le long des roselières
Complètement inondées
Les passerelles de naguère
Affluent juste sous mes pieds
Canards et poules d’eau
Se tiennent sur des îlots
Et bien que je côtoie
Une clarté qui décroit
Des arbres brillent encore
Sous un soleil d’or
Quand leurs eaux se parent
De reflets bizarres
Cet endroit familier
Est vraiment transformé
Il m’offre sa version
D’un temps de saison
Je regarde et comprends
Tout en m’amusant
Qu’une beauté se surprend
A créer l'envoûtement
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Geneviève