Je n’ose plus lire Villon,
François est tellement bon,
Frères humains qui après nous
Lirez, son génie vous trouverez,

Frères humains, qui écrivez,
Prenez garde à François,
Nul ne peut égaler sa foi,
En la poésie qui fait aimer ;

Vous verrez les siècles passer,
Vous verrez dames rêver,
Mais rien n’effacera les vers
De sire François dit Villon.

J’ai reposé cette ballade
Des dames du temps jadis,
Puis me suis mis à pleurer
Livre m’est tombé des mains.

Car Je n’ose plus lire Villon
Car jaloux de tant d’amour,
Mon âme a peur de poésie,
De Dieu, tout de son génie.