La belle de jour : Princesse,
Illumine nos vies, parfois,
C'est une vraie déesse,
Ah ! Je rêve d'elle des fois.

Ses parfums me laissent rêveur,
Un vrai parchemin d'odeurs,
De fleurs : de roses, d'Å“illets...
Pourtant mon être est très endeuillé.

Mon cœur désire aucune conquête,
C'est paradoxale d'un état d'être,
Le rêve n'a qu'une douleur en quête,
Son réveil où le songe doit disparaître.

Princesses des réveils, nombreuses mordent,
Cruellement Princes qui déclinent,
Très dur phénomène sordide,
Combien de Princes s'inclinent !?

Bien que sur la rébellion infâme,
De Princes par des feminicides...
Combien de Princesses s'exclament !?
Rendant leurs âmes, larmes tel un vrai deicide,

Du sacrée, des vies de Dieu où le genre humain,
Est témoin de l'ignominie,
D'actes inhumains des faibles humains,
Certains Princes perdant d'un coup : démunis...

Tuer... une vie c'est se tuer sur terre,
Eh ! Prince laisse la vivre,
Partir, ne lui fais aucune misère,
Les princesses doivent revivre...

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mes recueils :
1
https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2a2594e4cf.html

https://www.edilivre.com/un-temps-au-dessus-du-temps-2-2a25a45cff.html
2
edilivre /La rapsodie/