À une jeune femme âgée à peine de 26 printemps abattue froidement et lâchement de septs balles par les mains de son mari, chose atroce et plus que vilaine...
Comme un vent frais, elle a fait fi laissant derrière elle la joie de la vie ...
Paix à ton âme...

Contemple-les, oh mon âme !
Ces ivrognes, ces inciviles,
Ces imbeciles, ces cons.
Ils pèsent de leur poids sur la femme
L'agressent, l'épluchent, la déplument
Et l'éffeuillent comme un ouragon...
Ces inciviles ,ces cons.

Contemple-les, oh mon âme !
Ces ivrognes, ces ignobles,
Ces vaut rien, ces cons.
Et s'il fallait les décrire,
Je les traiterais de tous les noms
Ces conards ,ces incultes, ces démons.

Les pauvrettes oublient de si vite leur peine
Léchent leurs blessures à peine,
Domptent leur haine,
Et la mort dans l'âme,
Elles couvent leurs petits le coeur saignant
Ces gentilles dames, ce cadeau , ce don...

Contemple-les, oh mon âme !
Cess terre à terre, ces ivrognes ,ces cons
Ils ignorent tout sur la femme
Ces valses, ces finesses, ses caresses
Et ses amours triomphants...
Et dés que la rosée fait danser les plantes,
De leur charme, il pleut des pluie fines
Et des dons
Ces femmes, ces charmantes
Et cet amour débordant.

Une femme est une rose
Qu'au foyer, son parfum se répond.......
Ces femmes, ces charmantes,
Ces amours triomphants...