Oh! mon âme, joue ta guitare!
J’ai envie de baiser l’espace
Car là bas, je vois, près d’un palmiste,
Un fantôme me sourit; il te ressemble, mon admiratrice.

Mon vers à demi plein de vin,
Et chaque bouchée de fraicheur vers un demain,
Me caressant le visage, j’ai cru c’était ta main.
Et je m’endormais, te voyant sur mon terrain.

Heureux j’avais en poche, ma plume;
Une page blanche scinder en deux tranches.
Une sur laquelle j’écris je t’aime ;
L’autre sur laquelle j’écris pour toujours, mon âme!

Dans mon monde ,il n’y a point d’enfer
Quand tu souris, je me rappelle paradis sur terre.
Paradis sur terre,nous deux, mon ange et moi,
Amour éternel, sujet de paix et de joie.

Au café d’Val, j’écris maintenant
Bien décidé, sous un si doux vent,
Cette poésie de laquelle tu es la muse.
Dans ton Coeur ,mon amour, je l’éternise !