Comme le vent frivole qui caresse ma peau Comme l’eau de la pluie qui vient mouiller mon dos Comme l'oiseau qui part vers la terre africaine Je suis à tout jamais une femme sans chaînes…
Que mes pieds touchent terre sans imprimer la trace De lendemains sans joie, de matins qui s’effacent Tu devras être roi d'un monde insaisissable Où se trouvent les tours d’un royaume improbable…