Quand sous le ciel d’azur le soleil illumine La prairie en sommeil où murmure un ruisseau,
Mais une douce pluie inonde le silence Il me faudra gagner la rive sous le pont Dans la chaleur du jour observant l’excellence.
Sous l’orage grincheux, on veut croire à nouveau, Que le ru vient glisser sous le vent qui fulmine. Il me semble d’ailleurs que le ciel nous lamine Et pourtant, on y change un regard aussi beau.