Ça commence comme une histoire belle et vraie
Où le soleil couchant sur les blés dorés vient se livrer
Un paysage de campagne où la brume vient pour se coucher
Et un violon qui de grâce ne fait qu'effleurer ,de peur de toucher
C'était il était une fois
C'était un homme qu'on prénommait personne, parfois
C'était le vent , le cri
C'est la terre qui crie
Ça commence comme une histoire où la main s'accorde à la beauté
Où la vie et la mort viennent un soir s'embrasser , s'aimer et fauter
Un océan de vies où beautés et sauvageries ne font plus qu'un
Le bleu profond , l'écume blanche et les larmes des grands requins
C'était il était une fois
C'était un homme qu'on prénommait Ennio parfois
C'était le vent , le cri
C'est la mer qui crie
Ça commence comme une histoire qu'on ne voudrait jamais finie
Où l'image d'un homme seul sur le soleil couchant vit pour l'infini
Un temps figé où l'ouest s'arrête avant le grand fracas
Le sable ,la peur et le regard d'un homme a l'harmonica
C'était il était une fois
C'était un homme qu'on prénommait Ennio tant de fois
C'est l'histoire qui s'écrit
C'est le cinéma qui crie
Ça commence comme une histoire d'un artiste
Et se termine par un poème qui me rend triste
Ennio Morricone est parti dans un arc-en-ciel
Ces notes s'envolent fièrement, vers lui au ciel
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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann