PRIMAVERA
Nous nous aimions au fusionnel
Et nos amours adolescentes
M’ont ouvert les portes du ciel
Depuis la vie m’a emmené
Vers d’autres cieux, autres amours
Mais des amours sans majuscules
Qui laissent cœur en amertume
Et l’âme en deuil inassouvie
Où es-tu donc, ma fée jolie ?
La rosée du matin
De fraîcheur sensuelle
A ourlé de ses perles
La source de ma soif
Parceval