En plage, le paysage perd sa mémoire !
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A l’arbre mort,
la mémoire s’inscrit,
dans le temps qui passe.....
comme le souvenir,
du dauphin blanc,
au paysage de mort.

Sur la plage, la métaphore,
dicte la fuite du temps,
en grève, le paradoxe,
écrit l’action de la mémoire...

Prenons le temps,
de la fugacité du temps qui passe !
persistance d’une incapacité à lutter,
contre l’usure du temps !

La mémoire est un outil,
à figer l’éphémère...
la mémoire est capable,
de figer le temps qui passe...

Sans montres,
le temps devient éternel !
sans paysage,
la mémoire reste immortelle !

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Illustration : Persistance de la mémoire. Salvador Dali

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