Les semaines s’égrenent, chapelet navrant
Les jolis mots se sont tu, l’écrit est absent
Je ne te lirais plus, je ne te verrai plus
La magie a disparu, le charme est rompu

Je ne cherchais qu’une belle amitié Crystal
« Sais-tu réellement combien tu m’es vital »
M’avais-tu écrit dans cette émouvante lettre
Exprimant tes doutes et ton profond Mal être

Les maux déposés sur le papier arc en ciel
Ton mari, ses propositions indécentes
La peur de l’abandon, le moral en descente
Et j’étais l’ apaisement, morceau de ciel

J'ai rassuré, prédit l’érosion des sens
Tu m’as tant écrit, voulu de sages rencontres
Des rendez-vous à Paris en toute décence.

J’avais raison, l’âge calmant ses exigences
Le confident inutile, les mots forcés
Le silence... belle amitié s’est envolée.


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