Pour tous les membres de l’Oasis, pour Amademwa, et pour les 250 ans de la naissance de Beethoven, en remerciements et en amitié.

Je vous propose une tentative globale associant musique, image et texte.
J’ai sélectionné d’illustrer par des mots 3 passages de la célèbre romance pour violon de Beethoven (0-43’ ; 1’46-2’24 ; 3’33-4’15), c’est à dire le thème principal, l’introduction du second thème et la reprise du thème principal, tous joués au violon seul.
Le texte est normalement en rythme avec la mélodie sauf ornementations de la mélodie principale.

Pour illustrer la musique et les mots, j’ai choisi trois œuvres du peintre Johan Christian Dahl (1788-1857) qui me semblaient rendre à la fois la sensation de grandeur, d’infini, de joie et d’espoir contenus dans cette musique.

Merci pour vos avis, surtout si quelque chose ne va pas. Je dois dire que Beethoven est vraiment quelque chose de difficile à traduire, beaucoup plus que les autres compositeurs que j’ai abordés avant.






0-43’
Pour apaiser ton cœur, les tristes soirs,
Pour que joie revienne en toi,
Chassant les chagrins,
Il faut t’asseoir,
Ecouter message infini
Allumer un soleil
Dans ton esprit,
Un plaisir sans pareil.



1’46-2’24

Alors tu retrouveras
L’azur clair,
Qui te sourira et te transportera
En un éclair,
Au ciel,
Et dans un pré enchanté,
Tu laisseras rire éclater,
En bonheur torrentiel.



3’33-4’15

Musique t’apaisera, nouvel espoir.
Sera présent sous ton toit
Tel un pélerin
Pour un bonsoir
Bonheur, tu connaîtras toujours,
Et puis un bel amour.
La magique romance
Abrègera
Le lourd silence.

Daniel Dive, le 18 janvier 2020

----------------
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)