S’éveille le poète maudit,
en ces lieux de désolation,
s’y côtoient faux anges et vrais démons,
dans le vide, sans écho, se perdent ses cris.
La douleur emplie son corps,
de martyr, il subit le sort,
de son cocon, sans issue, où il étouffe, prisonnier,
c’est nue que lui paraît la vérité.
Cannibale est la muse noire,
dévoreuse d’espoir, une lueur qu’elle laisse entrevoir,
se nourrit de ses vers, de sa plume et jusque son sang,
tout en son antre est rongé, même le temps.
Ici, les nombreux maux,
ensevelissent les mots,
du paradis, bien loin, en ce désert, tant de mirages,
tant de mauvais conseils, viennent de langues de vipères grimées en sages.
Rien ne sert de crier sa peine,
elle brûle chairs et veines,
victime des vapeurs éthyliques, en ce monde de fous,
son être à jamais se dissout.
Attention, âmes sensibles zappez la vidéo mais vous manquez un truc
Ps: Je constate au vue des premiers commentaires que mes vers sont incompris, je suis horrifié de constater que les premiers s'amusent des maux qui touchent ma vie et qu'en ces vers j'ai essayé de traduire, pire les références à la fête stupide d'Halloween complétement à côté de la plaque
Cela étant, je n'écrirais plus
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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout
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