Tu viens d’avoir cent ans, impassible et serein ;
Tu connus tant de jours, les fêtes, la tourmente,
Tous ces moments bénis que le rose agrémente
En défiant le cours de ce temps souverain.

Tu vécus les secrets d’un ciel contemporain
Avec une existence à la couleur charmante
Mais aussi les complots que l’ennemi fomente
Pour l’homme miséreux, le simple pèlerin.

Maintenant sans tarder et qu’un an se termine
Avec ton vieux passé que le temps illumine,
Inexorablement, sans trompette ou tambour,

Nous sommes réunis, avec un cœur sincère,
Pour venir, tous ensemble, au début de ce jour,
Juste te souhaiter un bon anniversaire.