Distance d’eau et de sel, la Mer, la source de la vie.
Que j’eusse mis cette distance, distance d’eau et de sel,
En ce goût de l’amer, en un Au revoir, qui fût cet Adieu.
Aux larmes, que je n’eusse jamais versées, la Mer fut là pour moi,
A ceux qui se convainquissent de m’avoir donné leur amour pour leurs besoins,
Ils ne sussent me retenir, ils ne me virent partir, je ne fus qu’une acquisition de plus.
A ceux que ce mal eût appartenu et eurent voulu me le faire porter.
Ce ne fut plus un, Ă deux mains, mais Ă un seul, ce plus jamais, notre lien fut couper.
Sans regret, ne jamais se retourner, sans cri, l’Amour eut existé en son temps.
Il ne meurt jamais, je ne peux l’effacer de ma mémoire, je vous eus nommé.
Vous vivrez en ce malgré moi, envers et face à tous, bien vivants en mes souvenirs.
Elle ne doit être qu’en ce sens, ma vie, faites de belles couleurs en mon cœur.
Ce ne fut pas un Au revoir, mais bel et bien un Adieu,
On ne se nommera plus car il n’y aura plus entre nous, ce Bon Jour,
Juste cette distance, distance d’eau et de sel, la Mer, la source de la vie.
----------------