L’espérance signe un ciel lumineux
Trace indélébile de la présence de Dieu
Pour tous les croyants de toute religion

Aux heures furtives naît la pleine sollicitude
Etonnement et émerveillement
Les yeux sortis de leur orbite terrestre pour une vue extra-terrestre
Un voyage du fini vers l’infini
Et la finitude rejoint l’infinitude

Elle nous sort de notre désert de solitude
De cette solitude ne vaut que la verte opalescence
De ce temps qui n’en finit plus
Des existences démontées de la fissure l’homme pieux
Ne retient qu’une trace indélébile qui somme le bonheur

Et d’une vie d’homme il ne retient que l’innocence de l’enfance

De sa plume il ne voit que les mots habillés de joie
Et de sa persévérance de voir les humeurs des non croyants
Comme une pauvreté d’une existence mal orchestrée

Alors armé de puissance l’homme croyant
Aime l’amour d’une étrange sensation intense

Lieu ouvert aux autres
Horizon se fait bleu

Et prétend que dans sa foi il aura vu un ange //