On ne peut oublier ses mains qui se tendent,
Te soutiennent, t'accompagnent pour mieux être,
Accroche ton cœur, étreintes à jamais éternelle,
T'enivrent d'amour précieuses, uniques présences.


C'est dans le sol gorgé, que les racines
Naissent, grandissent, s'épanouissent,
De ta route remplie d'amour, elles la tapissent
Pour ne point choir, de mousses, de narcisses.


Les chaises autour de la table se vident,
Indéniablement, elle s'installe l'absence,
Ne te reste que la mémoire pour vivre,
Pour leurs esprits, continues, respires.


Les fleurs ne poussent ni éclosent,
Sans cette eau-de-vie, elles meurent,
Tristesse t'apporte plus que vertige, vide,
Une grande pensée de réconfort, te laisse.


Il y a qu'un verbe quel'on ne conjugue,
Qu'à la première personne, non singulière;
Dans cette épreuve, dernière tendresse;
L'instant, ...ton cri rompt le silence,
Je t'aime.

Aimons nous mais aimons nous vivant.....

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