Sans doute vous souvenez vous
De cette chèvre éprise de liberté,
De son cœur grisé voulant atteindre les hauteurs....

Qui s'en trouva dévoré par, le maître des forêts, le loup...
Il en mangea le meilleur puis en emporta les restes à partager
Rien de tel pour, de la famille, resserrer les liens du cœur...

Malgré que le repas fut agréable,
Ils se trouvait toujours un de leur frère qui broutait dans son coin,
Ce qui provoquait, parmi ses confrères, des discussions des moins affables ....
Quel est donc ce vaurien!!!! As t-on jamais vu un loup végétarien!!!!

C'est ainsi qu'un jour, en grande réunion,
Avec force et bonnes raisons,
Il fut pris de le chasser en décision
Car il nuisait à leur féroce réputation...

Il fût donc viré dans les champs,
Livré au père pâture....
Il descendit de la montagne, les flancs,
Trouvant dans la vallée l'herbe qui allait à sa nature...

C'était sans savoir qu'en ce beau matin,
D'un fusil, il allait en croiser le chemin...
Chargé de tristesse et de vengeance
Celui de monsieur Seguin, qui de son cœur, en était la ressemblance...

Dès qu'il l'aperçu...tira un premier coup....
Ce qui fût pour le loup celui d'un drôle de destin...
L'ayant reçu dans les fesses et malgré son mal,
Se retourna, souriant de tous ses crocs pour se montrer amical,
Ce qu'immédiatement le bon monsieur Seguin prit pour grognement
Bestial...
Il en tira donc vengeance...lui faisant aussitôt un deuxième trou de
Balle...

Il ramena, empaillât, exposa la bête au centre du village
Où chacun des habitants pouvaient s'horrifier de son sourire sauvage...

Chaque matin l'on saluait, le héros, du chapeau ou de la main
Et dans tous les contrées, aux enfants à l'heure du couché...
L'on contait l'histoire du loup de ce brave monsieur Seguin,
Pour de leur petits cœurs, la peur enlevé...

KISWIJ.... Christophe.

Voilà, c'était mon dernier écrit...je vous salue toutes et tous...

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La poésie est un art nécessaire à l’âme....