L'amant des sables ...
Ne pouvant rectifier l'image, voici ci-dessous les deux derniers quatrains !
Merci BRUNO
Quand de sa main tendue, frôlant ma chevelure
Le plaisir fut frisson que la fièvre procure
Et les yeux dans les yeux nous ne faisions plus qu’un
Nos cœurs dans cette union se charmaient de parfum…
L’harmonie en fusion devint cette promesse
Que nos sens libérés en une seule ivresse
S’envolaient comme un chant, céleste et éthéré
Étreintes, corps ardents, dans la nuit étoilée !
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« La poésie - par des voies inégales et feutrées - nous mène vers la pointe du jour au pays de la première fois.  »
de Andrée Chedid