Plume de platine Inscrit le: 26/9/2015 De: Envois: 2878 |
La femme que j’aime Avec la femme que j’aime, je suis face aux dilemmes Bien qu’elle soit charmante, elle invente des problèmes De ses beaux yeux sort une méchanceté extrême Bien qu’elle soit sans-cœur ; pour elle j’écris des poèmes.
La femme a la robe noire, est celle que j’adore Chaque fois que j’aurais un problème elle m’en sort Dame de fer, jalouse jouant la loi du plus fort Bien qu’elle soit ainsi, a la maison elle a tort.
La femme que j’aime est splendide, mais ignoble Elle n’adore que les bijoux et les meubles. Incompréhensive, réservée sans souffle Pourtant elle est ma muse de vivre en couple
La femme qui m’inspire le plus, est poétesse. Ses mots m’ensorcellent me blessent, ses rimes me caressent Dans le monde des songes, aussi belle, comme une princesse Illusion qui nous laisse emporter par l’ivresse.
La meilleure que j’adore est la femme citadine Exaltation odorante, rose d’aubépine Me niant quand elle fleure le parfum qu’elle butine Faisant ses courses, tout se fait à la machine.
Oh ma chère, bien aimée, rustique, femme rurale Glaneuse d’orge et de blé, en saison estivale Glorifiant le travail, les meurs artisanales Modérée, menant une heureuse vie conjugale.
Celle que j’aime autant que la patrie et la terre Elle m’a mis dans son giron, et l’écrin du cœur La soupeser en diamant son poids est plus cher Oh combien je t’aime toi la femme qui est ma mère.
ziriab le 09/07/2018 ( tous droits réservés )
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