Vers transparents
Sous un arceau brûlant languissent nos égards
Comme flamme avivant crépuscule d’envie,
Nos âmes délivrées sont le flambeau de vie,
Berceau de notre amour quand tanguent nos regards.
Dans le creux de nos mains, nous tenons cette obole,
Qui coule de nos peurs en un filet de bonheur,
Cascades de nos cœurs qui me font cet honneur
De voir mes lendemains par un si grand symbole.
Et dans ce flou brasier que consume le temps
Sans pareille folie et d’empreinte éternelle
Je consomme un baiser sous l’étreinte charnelle
Et ruisselle la pluie qui parfume l’instant.
Ha ! Quand mes yeux verront pour de vrai cet infâme ?
Délice explorateur s’exposant sans rigueur
D’un supplice orateur explosant subjugueur
A l’encre désireux sous verre qui m’affame.
Jonathan (Joey) - Dim 4 Mars 2007 -
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De petits malentendus peuvent être responsables de grands tourments, tout comme une grande amitié peut l'être de leur disparition
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