Je pense encore à toi pour la fête des Mères, Mais ce grand univers n’a plus cette saveur, Ce temps où, mon amour soumis là par faveur, Je retiens pour image un reflet de chimères.
Aujourd’hui c’est trop tard tu n’es plus vraiment là , Et je pleure à jamais de tristesse en mon âme, Je garde en souvenir ton visage de femme Qui traverse le temps dans un songe et voilà ;