Le Poète est souvent à l'infini du mage...

Celui en Vérité dont on sait le courage

Celui dont les écrits transforment quand il veut

Une femme endormie en déesse de Feu...



Car dans tous les reflets qu'engendre le Soleil

Il trouve le Diamant qui flamboie au Vermeil

Qui brille dans l'Azur tel un rayon fatal

Offrant à son sourire les songes du Graal...



Comme un Druide rivé aux magies de la Terre

Il suit son magnétisme et en perçoit l'Ether

Et se répand partout dans la pure nature

Celle où les hommes vils y laissent en pâture...



Leur carcasse soumise au regard des vautours

Qui voudraient la manger et tournent tout autour...

Sans le moindre souci de ce qui est Sacré

Pour ce Vase inviolé cachant le grand Secret...