Es-tu vif ou mort comment le deviner
En quel lieu erres-tu ici ou là
Ou faut-il invoquer ton nom le soir d’amertume
Convoquant un rêve radieux

Pour toi seul cette unique prière
Dans le pleine tiédeur de la fièvre
Et la volée amère de ces vers
En tes yeux que l’on lit comme un incendie

Nul ne m’aura fait tant souffrir d’aimer
Toi enfui au plus profond de l’être
Que je nuis et décide d’être
Même si tu oublies jusqu’on ce nom //