Ainsi meurt l'aube et l'étoile,Adieu Hèlène !
ô ,ce soleil n'est jamais de rais éternels
Adieu Hélène, la feuille tombe au bas du chêne
Mes vers si tristes Hélène ,ils cherchent un ciel
Où battre de l'aile ,partir haut en hirondelles
Mes vers se cachent pour mourir, douce Hélène!
Ton absence , de folie de coeur les assène
Les cieux refusent de leur offrir une échelle


Cruel l'hivers dans mes vers ,Oh douce Hélène!
Tissa de nuit, en silence un linceul de gel
Au bout de mes rimes tout un amas de sel
Une âme épave,et des roses mortes,Hélène!

Mon coeur est une gare vide , morne scène !
le dernier train ne m'offrit guère cette aubaine
De mettre le ciel de tes yeux,douce Hélène!
Dans mon regard enfant qui cache mal sa peine

J'ai beau refaire mes vers ,Oh douce Hélène!
Mais rien à faire Hélène,ils ont soumis l'aile
Leur exil n'est d'aucune terre,Dors Hélène!
Dors,mes vers se cachent pour mourir ,Oh !Hélène

Mes vers se cachent pour mourir,Douce Hélène!
Toi, Hélène, mon éternel et seul éden!
Embrassons nous, et d'un baiser intemporel
Sur mes lèvres demeure ce goût éternel
De ce baiser que le temps a volé au ciel
Derrière mon coeur,s'en vont ivres mes poèmes
Se cacher las pour mourir et crier je T'AIME



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Adieu Hélène,la vie sépare comme elle unit
Mais les roses mortes,sûr,ailleurs ont une autre vie.
Nous sommes pareils aux papillons,ma chère Hélène
Derrière leurs ailes,un coeur si frêle empli de peines

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Dragonis.