Une rose éternue
Le pieds noyé dans l'eau
Un rayon s'évertue
A lui lécher la peau
Elle s'ouvre au soleil
Elle écarte ses pétales
Son cœur s'émerveille
Quand le dard l'empale
Conquise elle fléchit
Au dernières caresses
De l'aube qui s'ennuie
De ses rimes en détresse
Charef