Qui pourrait te connaître ?
Sous cette politesse
Qui n’est que discrétion ?
Qui aurait pu te soumettre
En écart de tendresse ?
Mais quelle dérision !
Pourtant c’est dans tes yeux
Que riait la malice
Quand tu me soulevais
Et que dans tous nos jeux
Je te sentais complice.
Je pleure de regrets.
Bien sur que j’ai grandi,
Mais ces années durant,
Tu m’as tenu la main
Et tu m’as tout appris.
Papy je t’aime tant,
Et j’ai tant de chagrin !
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Bonjour à toi et bisous.