De la fumée et quelques ombres
Le coeur qui s'alourdit peu à peu

Tant de cris qu'on ne les dénombre
Entourant la mort à petit feu

Toute la torture physique
Tous ces délires souvent nocturnes

Cette fragilité psychique
Ce masque revêtu dans le diurne

De la fumée et les yeux vides
L’âme qui se terre peu à peu

Tant de visions de ce suicide
Quand la plume trace ses adieux

Tant de versions pour expliquer sa mort;
En réponses, ces écrits sur son corps...

02.09.17

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