Te rencontrer pour moi fut le plus beau des rêves.
Comme douce oasis après désert torride,
Tu as été alors, en mon âge des rides,
Une nuit étoilée, un soleil qui se lève.

Je ne peux que t’écrire poésies trop brèves,
Où je mets tout mon cœur qui était si aride
Jusqu’à ton arrivée où il a bu, avide,
L’eau fraîche d’un regard qui mon chagrin enlève.

Je voudrais faire plus, te combler de plaisirs
Satisfaire les plus petits de tes désirs
Pour te savoir heureux sous mes tendres câlins

Et ton si doux regard, en un instant magique,
Montrerait le bonheur dans tes yeux opalins
Consacrant pour nous deux un instant magnifique.

Daniel Dive le 21 novembre 2016.

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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)