GRAND FROID

Ce matin ,froidure,il gèle
mon cœur abîmé, glacé;
enfuie ma belle demoiselle
être surpris et décontenancé.

Laborieux fut notre printemps
suivi d'un bel été somptueux;
pour toujours nous on prétend
baigner dans un séjour fastueux.

Un gredin, un ruffian, l'aventure
toi saturée par notre monotonie;
cher payée cette mésaventure
félonie, nouvelle vie, cacophonie.

Plonger en hiver, point d'automne
s'adapter, habitudes originales, tristesse;
paradis perdu, bricolage, tu tâtonnes
ardus chemins avec d'insolites hôtesses.

Dans l’atmosphère refroidie, transi
un rude hiver il 'pèle', ça 'kaille';
cœur parfois réchauffé, triste poésie
désillusions à fréquenter ses harpailles.

L'hiver, sa froidure, grippe, rude saison
s'adapter, y puiser quelques joyeusetés;
découvrir sa rare pépite, revivre au diapason
nouvelle embellie,repartir, nouvelle complicité.

L'hiver moral en berne, dur hivernage
les beaux jours reviendront, espoir.

LE TROUBA D' OC

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la vie est belle a la retraite que tu en ai 60 ou 70 ou plus si tu es en bonne santé! tamalou? mot a eviter;
les poemes un passe-temps sans aucune pretention dans la beauté de l'aurore avec le soleil qui me fait des levers pharaonique sur la mer...