Que ton amour me manque.

De toi une ombre reste accrochée à mon chemin,
Me faisant divaguer au milieu du néant,
Me rappelant chaque jour que de tes yeux,
coulait quelques fois
une eau claire et limpide.

Dans un espace perdu au milieu du vide,
j'ai rangé mes couleurs trop sombre,
à l'abri des regards,
à l'abri de l' espoirs.

De ma lune désabusé,
Je regard les confins de cet espace,
De ce vide, qui lentement ce comble,
de tous ces jours d'absence,
de toutes ces heures,
que jamais nous n'évoquerons ensemble.

Doucement je glisse vers cette légère folie,
cette vision écorné d'un toi et moi,
qui jamais ne vivra,
jamais ne s'éveillera de son lourd sommeil.

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je t'écris trois mots
peut-être quatre ou cinq
enfin je t'écris.