Nul ne sait la chaleur quand s’endorment les cœurs Le regard qui se porte en son sort les rancœurs Quand se noie en la soif on plaint l’insuffisance,
Le mystère est entier aux sillons d’un faubourg Jettent au creux de son âme un cri dont l’arrogance Lui soumet l’interdit au ton d’un calembour…