Elle avait de beaux yeux presque comme une enfant
Nous étions installés sur un canapé-lit
Tout en elle était attrayant et joli
Elle donnait l’impression d’être un tout jeune faon…

Et tout en évoquant avec quelque détente
Certains des margoulins qu’elle avait rencontrés
Dont beaucoup auraient bien voulu la pénétrer
Elle me dit qu’elle vivait chez une vieille tante …

Echauffé par ce corps leste et tendancieux
Ambigu je passais une main sur sa pulpe
Du coup elle me prit de façon très abrupte
Et tout se déroula pour atteindre les cieux…

Je ne la revis plus au moins pendant trois ans
Mais je l’ai rencontrée un jour chez des amis
Elle avait avec elle un bambin très bien mis
« C’est ton fils » me dit-elle… froide… en souriant…