L'homme assassin.

Le dompteur de l'azur, chauffe le granit blanc 
Qui tombant dans la mer, accouche de l'écume,
Sur le flot émacié, reflète l'or d'agrume
Et le maître des flots, arde, vague, troublant ;

Aux hérétiques jeux, le sillage accablant
Sur la grève finit, noir de l'encre d'onc plume
Se grave la diktat, d'une enchère posthume
Sur les récifs, coraux, sous le vent redoublant ;

La ciel d'ersatz violets, verse des pleurs acides
Et l'ancienne cité, suffoque sous ses rides
Pour un reste d'humain, jouant tels des enfants ;

Sur ce caillou rasé, la fleur fut que trop belle 
Gaïa lente s'éteind, avec la citadelle  
Qu'un seul homme, imbu, mise, côte, triomphant...

Daniel Beau le poète rêveur
13 juin 2016
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