Un bruissement d’ailes, belle envolée
Qui part en vrilles et concerto
Sous la coupole effilochée,
Le cliché d’une plaisante photo

Lorsque un matin elle est partie
De rosée baignée à l’aurore
Sa vie n’étant que pur ennui
A rosser des jours incolores

Vers la chaumière pas une œillade
Ses lèvres marmonnèrent avec brio
Les pertinences d’une galéjade
Pour repartir à contrario

En cicatrisant le passé
Et ces calamiteux crève-cœur
Puis, sur ses ruines réédifier,
Un nouvel avenir aguicheur.



Michèle G.
Copyright
14 mai 2016

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La vie est belle il faut savoir l'apprécier.