Voici bientôt trois ans,
que sur la belle rose Oasis,
j'ai posé mes ailes d'argent,
du vent un caprice.
Celui-ci emportant ma feuille morte,
la posant à ta porte.
Je l'ai suivi,
et me suis grâce au vent, fait nombre d'amis.
Aujourd'hui, je t'offre,
un beau bouquet de vers.
Trésor sorti de mon coffre,
car avec toi, pèse un peu moins lourd la misère.
Je t'offre quelques roses,
belle prose que chacun compose,
et des campanules,
de toi, nous sommes tous des particules.
Tu es ma seconde maison,
de vivre, une raison.
Nous sommes tous un pétale de cette fleur,
Oasis toujours vivra dans nos coeurs.