QUATRAINS A JEUN (2015)Suite...
Je touchai bien du bois mais jamais de ce bois
Fagoté dans les liens d’un esprit délétère
Qui fit ardents bûchers ou se dressa en croix
Sur le sang de l’enfant et les pleurs de la mère.
Bien plus que cieux mes vœux me font autant de toits
Sur ma maison de bois au mépris de la pierre
D’où ne sourde pas l’eau mais ces sèches fatwas
Qui corrompent le rêve au cœur de la prière.
Drapé d’humilité je n’aurai jamais froid
Idoine substitut aux argiles ingrates
Qui vêtirent mon âme à son grand désarroi
Et souillèrent parfois par les vaines vulgates.
A.Alloun
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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!